Tout ceci est dans la logique de notre histoire climatique, la remonte depuis 170 ans des temperatures moyennes ne pouvaut mannquer de se traduire par une modification des rythmes glaciaires saisonniers, tant dans les banquises que dans les glaciers et calottes permanentes.
Les reconstitutions de l’holocene montrent une telle sensibilite aux grandes fluctuations depuis 7000 ans, les glaces de surface ont marque nettement un replis dans les phases “chaudes” des optimums et on en trouve les traces dans les profils de glaciers et les analyses des depots des fonds Arctique.
Tout ceci est dans la logique de notre histoire climatique, la remonte depuis 170 ans des temperatures moyennes ne pouvaut mannquer de se traduire par une modification des rythmes glaciaires saisonniers, tant dans les banquises que dans les glaciers et calottes permanentes.
Les reconstitutions de l’holocene montrent une telle sensibilite aux grandes fluctuations depuis 7000 ans, les glaces de surface ont marque nettement un replis dans les phases “chaudes” des optimums et on en trouve les traces dans les profils de glaciers et les analyses des depots des fonds Arctique.