Les meilleurs restaurants japonais à Paris

Institutions de quartier ou nouveaux venus, voici les meilleurs restaurants japonais à connaître à Paris.

Pour un menu gastronomique omakase

Au coeur de l'hôtel Cheval Blanc, ce nouvel omakase (du japonais “je m'en remets à vous”) plonge ses visiteurs dans un décor feutré à la tokyoïte sublimé par Peter Marino. Accoudés au bar, les visiteurs ont ensuite le choix entre deux menus dégustation en 2h (Shunkan) ou 3h (Yume) accompagnés (ou non) de grands crus ou de sake triés sur le volet. Balade culinaire poétique (le mantra des lieux est le suivant : “Comme l'eau versée ne peut être retenue, les moments passés ne peuvent être repris”), on y admire surtout tout le savoir-faire de Takuya Watanabe (ex Jin et derrière le take away Takuto). En étroite collaboration avec Arnaud Donckele, le chef du palace triplement étoilé, les recettes pensées à quatre mains sont d'une finesse rare : bouillon iodé accompagné d'une confiture d'algues nori, nigiris coiffés de pageot, de seiche lustrée, d'homard, d'huitre grillée ou encore de thon gras… Avant de faire place à un futomaki gourmand, une omelette à la japonaise ou encore une soupe de nouilles et de morilles. En fin de repas, c'est Maxime Frédéric, le chef pâtissier des lieux, qui prend la barre en déclinant un premier dessert inspiré par toutes les subtilités du riz, des mochis glacés aussi appétissants que raffinés (sésame noir, rhubarbe…) et un roulé aux fraises de saison. Tout est délicieux.
A réserver ici

Avec seulement 10 couverts et 2 services (un à 19h, l'autre à 21h30 précise), le lieu propose un menu dégustation, façon omakase, sous la houlette du chef japonais Tomoyuki Yoshinaga. Avec en prélude du maquereau aux poireaux et daikon, du thon toro Aburi (juste grillé) au wasabi, un dumpling de Saint-Jacques en bouillon et de la seriole grillée, le chef forme ensuite, un à un, les célèbres nigiris. A déguster à la main, en ne laissant pas plus de sept secondes après qu'il les ai disposé face à chaque convive, ils sont coiffées, tour à tour, de calamar lustré, de bar, de dorade, de rouget, de thon rouge (décliné en version gras et caviar), d'oeufs de saumon, d'homard au miso, d'anguille ou encore d'oursins. Accompagné de sake ou du thé, le ballet culinaire s'achève avec une déclinaison de glaces au matcha (plus ou moins corsées) qui viennent de chez Alain Ducasse.
A réserver ici

Au rez-de-chaussée du Pavillon Ledoyen, L'Abysse est le comptoir à sushis du chef triplement étoilé Yannick Alléno. Confiant les rênes au chef Yasunari Okazaki, tout y est fait à la japonaise et dans les plus grandes règles de l’art. De la technique de pêche de l’Ike-Jime, en passant par la maturation du poisson ou encore le choix très précis du riz, rien n’est laissé au hasard par ce maître absolu du sushi. Un savoir-faire allié aux techniques raffinées du chef français, qui mue le menu en une véritable épopée gustative (crème d'Amandes douces un brin salée, fausse soupe d'aile de requin, tofu de petits pois, œufs de truite…Puis les sashimis ultra fins, annoncent l’arrivée de six sushis sublimes, dont la recette évolue selon les arrivages et les humeurs du chef). Cerise sur le gâteau ? La ribambelle de desserts plus délicieux les uns que les autres : cheesecake aériens, pêches rôties au matcha, fraise en croûte de sucre aux algues…
A réserver ici

Restaurant de poche bien connus des mordus de poisson cru nippon Sushi B a élu domicile du côté du square Louvois à Paris. Derrière le comptoir, c'est le maître sushi Masayoshi Hanada qui réalise minute les classiques du genre avec beaucoup de finesse: Ika Nigiri (sushi à la seiche), tartare de toro au caviar, tempura rolls, sashimis dodus… Tout est délicieux.
A réserver ici

Caché dans un dédale du 15ème arrondissement, Chakaiseki Akiysoshi donne l'impression de mettre le pied au Japon sans pour autant sortir de Paris. Dans un décor épuré, 100% nippon, les visiteurs prennent place autour d'un comptoir en bois clair (ou sur une grande table d'hôtes pour les tribus plus nombreuses). Avec en préambule un bol de thé vert froid de Fukuoka, le menu dégustation mêle, en ce moment, des asperges vertes et du poulpe au miso, des sashimis de seriole à la gelée de ponzu-wasabi, du thon akami et de la seiche coiffée de caviar, du tofu aux fèves et gingembre dans un bouillon à la japonaise, du rouget grillé au charbon de bois, des sushis au maquereau, du riz au crabe, du wagyu, des aubergines grillées ou encore un blanc manger au pamplemousse et un carrot cake au fraise. Le tout servi dans des céramiques délicates venues de Kyoto et accompagné de vins natures triés sur le volet.
A découvrir ici

Projet de cœur de César Mourot et Paul Dupuy, un tandem qui ne cesse de faire des aller-retours au Japon, tant il est mordu de cuisine nippone, Sushi Shunei s'étire en longueur sous une belle voûte pyramidale réalisée par les studios d'architectes Sala Hars et Vorbot. Succédant à Shunei Kimura (tristement décédé en juin 2022) c'est désormais son épouse Chizuko Kimura qui continue de piloter les lieux aux côtés de Takeshi Morooka. Riche de 30 ans d’expérience, ce maître incontesté du sushi, propose, chaque soir, à 19h30 et à 21h30, un menu omakase d'une finesse rare. Débutant l'odyssée culinaire par une série d'amuse bouche, on y croque ensuite des sashimis de sériole et de thon gras, un tsumami au homard et caviar Petrossian, du black cod grillé avant de voir défiler les différents nigiris. Evoluant selon la pêche du jour, ils sont coiffés de paigre, de bar, de turbot, de calamar, de sériole, de maquereau, de thon mariné, de saumon ou encore d'anguille. S'en suivent un temaki gourmand et une soupe miso, avant que le repas ne s'achève par un sorbet à la noisette et à la prune salée de la Manufacture d'Alain Ducasse.
A réserver ici

Situé sur la rive Gauche, rue Saint-Dominique, le lieu s'organise autour d'un mince comptoir où le chef Jun Yoshikawa fait des étincelles. Proposant un menu omakase abordable, le lieu a le bon goût de miser sur une pêche française durable, créant un pont culinaire vertueux entre savoir-faire nippon et terroir local. Au programme? Chirashi coiffé d'oursin, sashimi de seiche, nigiri d'otoro, de maquereaux, de langoustine, d'anguille fumée… Le menu évolue selon les trouvailles de la criée. Accompagné de vins natures triés sur le volet et de sake, le festin s'achève par un mochi au matcha gourmand.
A découvrir ici

Pour voir et être vu

Mené par Arthur Cohen et Olivier Leone (déjà derrière Onii-San), Ojii vient d'ouvrir discrètement ses portes à Paris. Dans un décor feutré nippon, aux influences 70s, le restaurant doit son menu au chef Yuji « Taku » Mikuriya. Réalisé avec la crème des produits marins, on y retrouve des sashimis de yellowtail, de l'anguille grillée ou encore des nigiri de Toro ikejime et de caviar Osciètre Volzhenka. 
6 Rue Perronet, 75007 Paris, Tel. 07 45 08 08 27
A réserver ici

Ce n'est un secret pour personne, Cyril Lignac a un faible pour la cuisine nippone. Et c'est entre les murs de son Bar des Prés, bien connu de la jolie faune parisienne, qu'on en prend toute la mesure. Installé au bar, dans une ambiance tamisée, le menu fourni nous fait les yeux doux: goma-ae de légumes verts, homard Breton, crème sésame; galette craquante, tourteau au curry Madras, avocat, citron vert (star d'Instagram), sashimi de yellow tail ou de thon rouge, sushi Chu-Toro, maki d'anguille laquée, chiffon cake au matcha, sauce chocolat fondu... Le choix devient vite cornélien. Sans compter que liste des cocktails n'est pas en reste avec un Tokyo Garden (gin Hendrick’s, shizo, saké, jus de yuzu,jus de litchi).
A réserver ici

Pour des sushis et du poisson cru (mais pas que)

Restaurant fétiche de Jane Birkin ou encore Hélène Darroze, cette institution nippone de la Rive gauche propose aussi bien des sushis gourmands que des soba. Ces nouilles japonaises de sarrasin servies au choix nature avec de la sauce sésame, du magret de canard en bouillon ou encore des beignets de crevettes.
A réserver ici

Mené par le chef Toyofumi Ôzuru, Ryô reprend (enfin) du service Rue des Moulins. Dans un décor sobre, escaladé de carrelage immaculé, les visiteurs s'y partagent (ou non) des gyozas grillés, des aubergines au miso, des anguilles marinées, des sashimis à foison, des nigiri aux crevettes ou encore des californias au crabe et des chirashis. 
A réserver ici

Rue du Sabot, ce bar à sushis carmin vient de faire peau neuve. Dans une ambiance tamisée, de jolies petites assiettes défilent sur les tables, allant du plus classique à des recettes inédites pensées spécifiquement par le chef. A l'image du menu carte blanche Omakase, qui se réinvente chaque jour, en fonction de la pêche du jour et des saisons. On peut y retrouver ainsi des sushis de thon toro, de yellowtail ou de dorade coiffés de caviar, des rolls aux œufs de saumon ou des californias au foie gras. Sans oublier des mochis au matcha, noisette ou sésame noir, mais aussi des cocktails et des bons crus à siroter.
A réserver ici

Des chirachis mixte, des sashimis de saumon, des maki de thon ou encore des huitres. A la fois poissonnerie et épicerie fine japonaise, EBISU propose un menu alléchant à déguster sur place, à la vente à emporter ou à se faire livrer à Paris.
A découvrir ici

Pour des handrolls

Piloté par le maître sushi Takuya Watanabe, Takuto a ouvert ses portes rue de Seine à Paris. Pensé dans la plus pur tradition nippone, ce handroll bar, aux minces dimensions, recrée l'ambiance typique des marchés aux poissons de Tokyo où l'on déjeune debout. Accoudés au bar, les visiteurs croquent ainsi les différentes recettes du moment: thon rouge, maigre… Seule constante la finesse de la préparation du riz réalisé à base de plusieurs vinaigres, recette signature gardée secrète. Parallèlement, on y retrouve aussi des tartares d'oeufs et de poissons crus, des légumes marinés ou encore des omelettes à la japonaise.
A découvrir ici

Œuvre de Romain Taieb (déjà derrière Le Piaf et Bambini et ex Nanashi), le lieu s'organise autour d'un long bar en béton, d'une structure en bois et verre minimaliste pensée par l'architecte d'intérieur Rodolphe Albert (a qui l'on doit également le décor de Shabour). Attablées, les visiteurs découvrent ensuite un menu court et efficace où cocher directement ses envies du moment. Stars de la carte, les rolls se préparent minute, à base d'algue nori bien croustillante, de riz vinaigré et se déclinent sous toutes les formes possibles: au saumon, au yellowtail, au crabe (un must), à la Saint-Jacques, au thon Toro ou encore au homard. A déguster à la main, on peut aussi les accompagner de sashimis, d'edamame ou encore de salades de concombres bien relevées. A noter, une seconde adresse estampillée DokiDoki vient d'ouvrir rue Marbeuf à Paris.
A découvrir ici

Mené par Adrien Albou (anciennement aux commandes de la marque Garçons Infidèles) et le chef Lee Cheng (fondateur du groupe Plus de Piment), Hando est ce nouveau comptoir nippon installé à deux pas du Bon Marché. Spécialisé dans le handroll, il met à l'honneur cette spécialité venue du Japon qui allie riz et poisson cru (ou légumes), enroulés dans une algue croustillante provenant de la région de Chūgoku. A déguster à mains nues, ces rolls sont fourrés au saumon, au crabe, au thon, au yellowtail ou encore à la dorade. Egalement au menu, les edamame et les salades de concombres croquantes tutoient les sashimis (dont un très bon au toro). Servi dans un décor épuré inspiré de l'univers de Tadao Andō, le repas se termine avec des mochis provenant de la pâtisseries Toro.
A découvrir ici

Pour un menu izakaya

Mené par une mère et son fils, Zakuro sert une cuisine nippone de bon ton. Installés au comptoir ou dans la mince salle, peuplée de mobilier en bois clair, les visiteurs y commandent des tartares de ventrèche de thon légèrement fumés servis avec un jaune d'oeuf mariné, des currys de poisson à la bonite, du poulet frit karaage, du tofus croustillant… A déguster avec du thé glacé ou un verre de Whisky japonais.
A réserver ici

Rue de Douai, ce mince restaurant habillé de bois clair fait partie des incontournables pour s'initier aux joies de la cuisine izakaya. Annoncé à la voix, une ardoise à l'appui, le menu du jour évolue selon les envies du chef. Constitué de petites assiettes à partager, on y déguste aussi bien des racines de lotus croquantes, que des aubergines au miso, du poulet fris ou encore des tartare de poisson au shiso.
A réserver ici

Avec aux commandes Julien Osade et Yujiro Yagi, Kanadé plonge ses visiteurs dans une ambiance tokyoïte. Installé au bar, face à la brigade qui mitonne, découpe, prépare... On se laisse tenter par des grands classiques nippons impeccablement réalisés: œufs en tempura, aubergines grillés au miso, bols d'udon, tofu sauté et avocat, sashimis préparés selon les envies du chef... Tout est bon. Autre bon point, la carte des vins qui oscillent entre France et Japon avec du vin aux prunes.
A réserver ici

Inspiré par le décor zen des machiyas de Kyoto (ces maisons en bois traditionnelles), c'est le collectif Mixomania qui y mène la danse. Installés sur des banquettes arrondies ou des chaises en bois foncé, sous des lanternes fleuries et entourés de théières en fonte ébène, les visiteurs y découvrent un lieu hybride qui oscille, au fil de la journée, entre l'izakaya, le salon de thé et le bar à cocktail. Célébrant les saisons et une pêche durable, le menu rassemble un pot au feu de boeuf wagyu, des légumes fermentés, une déclinaison de thon toro fondant, un risotto de taru aux champignons et sobacha croustillant, une salade d'algues… Mais aussi et surtout des pâtisseries plus alléchantes les unes que les autres réalisées en collaboration avec la maison TOMO (dont un mochi au matcha et edamame, un baba au whisky ou encore un tiramisu matcha-verveine). Spécialisé également en alcools rares, le repas s'accompagne de cocktails sur-mesure shakés avec soin (whisky nippon-miel, sake-yuzu…), des bons crus français et autres sakes triés sur le volet (dont un délicieux pétillant). Difficile de ne pas y trouver son bonheur.
A réserver ici

Pour un menu japonais fusion

Avec à la barre le chef Hideki Endo (déjà aux commandes du célèbre Nobu), Matsuhisa aimante, depuis son ouverture, une jolie faune colorée au sein du Royal Monceau. Inspiré par le Japon, mais aussi l'Amérique latine, le restaurant décline des recettes devenues quasi culte dans la capitale: cubes de riz croustillant et saumon épicé, tacos de thon mi-gras, sashimi de sériole au jalapeno et yuzu, bar chilien au miso croustillant… A déguster avec du sake trié sur le volet et des bons crus. Le plus? La terrasse où profiter de l'arrivée des beaux jours. 
A réserver ici

A la table? On découvre le savoir-faire des chefs Julien Chicoisne et Roland Puse, accompagnés pour les cocktails par Aurélien Fleury. Avec une nette préférence pour la cuisine nippone (mais pas que), on y retrouve un sushi‐bar qui décline des sashimis, des california, des tataki… Mais aussi un menu qui mêle des gyozas, des yakitori au charbon de bois, un carpaccio d’hamachi à l'avocat et au dashi miso, des gambas façon shabu‐shabu… Mais aussi des pâtisseries gourmandes réalisées par Yann Couvreur.
A réserver ici

Dans le passage des panoramas, Yujin mise sur un menu japonais fusion et une carte de cocktails inspirants (dont des margaritas parfaitement maitrisées). Dirigé par un quatuor d'amis : Pierre Sene (ex Bernard Loiseau et L'Escargot Montorgueil), Bryan Birget, Alexandre Basse et Guillaume Guedj, le lieu s'articule sur deux étages et renferme différents bars et alcôves depuis lesquels déguster de petites assiettes. Twistée d'influences street food nippones, la carte célèbre surtout le curry sous toutes ses formes : en légumes tempura, légumes sautés, poulet frit, ou bœuf. Proposition culinaire plus audacieuse, on y découvre aussi des sushis façon brochette boeuf-fromage. Sans oublier les traditionnels oeuf-tamago et autres mochis au thé vert.
A découvrir ici

Après avoir ouvert ses portes fin octobre, l'hôtel Madame Rêve, mené par Laurent Taïeb inaugure, cette semaine, un nouveau restaurant haut perché. Installé au dernier étage, le lieu rassemble un patio verdoyant, un grand bar, mais aussi et surtout un florilège de tables en marbre tournées vers l'Église Saint-Eustache. Inspiré par le Japon et sa cuisine contemporaine, on y déguste des croquettes d'avocats épicées au dashi, un sashimi de daurade, du saumon grillé teriyaki ou encore une sole en tempura accompagnée d'algues nori et d'une sauce tentsuyu. Cerise sur le gâteau? Les pâtisseries fines signées Pierre Hermé pour finir sur une note sucrée. 
A réserver ici

Pour de (très bons) bentos

Au cœur d’un hôtel particulier de la rue Debelleyme, OGATA rassemble, sur 4 étages, tout ce que le bon goût japonais fait de mieux. Mené par Ogata Shinichiro, soucieux de partager les us et coutumes de son pays natal, le lieu guide ses visiteurs vers la voie du sahō ou "l’art d’être" en version française. Une doctrine dont on saisit la mesure au fil de différents espaces, chacun dédié à un savoir-faire. Perché au dernier étage, le restaurant mené par Watanabe Kazuki fait cohabiter produit du terroir français et recettes nippones. Avec en particulier, à l'heure du déjeuner, un bento qui rassemble des légumes croquants et du poisson cru, avec pour touche finale sucrée un blanc manger au matcha. 
A réserver ici

Installé Boulevard Haussmann, ce petit restaurant nippon est allé se cacher au fond de la boutique de la Compagnie Française d'Orient et de la Chine. Mené par le groupe Black Code (également aux commandes de Kinugawa), on y retrouve leur bento signature composé de sashimis, de salade d'algues, de viande ou de poisson grillés et de californias saumon-avocat. 
A réserver ici

Rue du Mont Thabor ou rue Jean Mermoz, Kinugawa s'est rendu célèbre pour ces délicieux bentos aussi fins que complets. Imaginés par le chef Koda, on y retrouve des filets de Yellow Tail coiffés de piment, des californias gourmands au saumon et à l'avocat, une salade d'algues et de concombre ou encore du black cod. Le tout accompagné de thé vert au riz soufflé ou de sake.
A réserver ici

Pour des ramens, udons et des nouilles soba

Originaires de Fukuoka, cette région située sur la côte nord de l’île japonaise de Kyūshū, les udon font partie des recettes phares de la cuisine japonaise. Fraîchement débarqué dans le 8ème à Paris, Enni Udon les décline sous toutes les formes. Dans un décor épuré réalisé par l'architecte Alexandre Schrepfer et la scénographe d’intérieur Chiaki Yatasui, les visiteurs y dégustent le menu du chef Nobutaka Hayashi. Dont les fameuses nouilles accompagnées de tempura de crevettes, d'algues wakamé ou encore de poutargue et de boeuf au gingembre.
A réserver ici

Dans une petite rue derrière l'avenue de l'Opéra, Sanjo propose, à la vente à emporter, un florilège de ramens à toutes les sauces. Au porc nature ou pimenté, coiffé d'un œuf mollet, aux champignons noirs ou même saupoudré de truffes fraîches… La carte a de quoi séduire tous les becs salés. Sans oublier qu'on y retrouve des gyozas en entrée et un sorbet au yuzu pour terminer sur une note sucrée.
A réserver ici

Restaurant bien connu des puristes du genre, Kunitoraya excelle autant en ramens qu'en chirachis et autres recettes nippones. A déguster chaudes ou froides, ses nouilles nippones s'accompagnent de tempuras délicats, des onigiri au poisson et aux algues à dévorer d’une bouchée et des tapas à partager. 
A réserver ici

Rue Saint-Anne, Mecque des restaurants nippons à Paris, Menkicchi a ouvert discrètement ses portes. Mené par le chef Makoto Saegusa, le restaurant décline des ramens aux bouillons épais réalisés à base de porc et de volaille, accompagnés de ciboulettes fraîches, de lamelles de porc et d’œuf mollet. Les nouilles sont faites maison et la bière vient du Japon. A emporter ou se faire livrer.

Pour des yakitoris

Déjà à la tête d'un restaurant expert en udon, d'une cave à sake et d'un spot à onigiri, le chef Masafumi Nomoto profite du mois de janvier pour inaugurer une nouvelle adresse à Paris. A la place de son ancienne table franco-nippone, il met à l'honneur les yakitori. Ces brochettes typiques, qu'il réalise ici au binchotan, soit le charbon de bois japonais. Au menu? Des yakitori au poulet de Bresse, de bœuf japonais, d’anguille, de fruits de mer, mais aussi de ris de veau mariné aux algues et frit, pattes de crabe… Sans oublier une soupe d’udon et des pâtisseries. Le tout accompagné de sakés, shochu et whiskies japonais.
A réserver ici

Pour du boeuf Matsusaka

Graal culinaire absolu au Japon, longtemps gardé exclusivement pour le pays, le bœuf Matsusaka est arrivé en 2023 à Paris. Grâce à un accord du gouvernement et d'Hiroki Ito, l'agriculteur spécialiste du genre aux commandes de la célèbre ferme Ito Ranch, c'est donc le restaurant japonais MARIE AKANEYA qui en a la primeur. Encore plus fondant en bouche que le célèbre wagyū et autre boeuf de Kobe Beef, cette viande doit sa qualité au temps l'élevage beaucoup plus élevé que la moyenne et à l'alimentation des bêtes faite de paille de riz organique, fermentée durant un an. Première table en Europe à le servir, cet hot spot nippon vient d'ouvrir ses portes rue Godot de Mauroy. Proposant différents menus dégustations, le lieu sert en préambule un Umeshu (sake aux prunes), avant de décliner des gyozas au wagyū, un bouillon d'udon au canard, du tonkatsu croustillant (porc pané), des légumes de saison, un rumsteak de bœuf japonais à la sauce miso ponzu, des crevettes… Avant l'arrivée tant attendue du fameux bœuf japonais Ito Ranch™de Matsusaka Beef à faire griller soi-même. Cerise sur le gâteau? La possibilité, en dessert, de goûter au melon de Fukuroi, un autre produit rare et encore méconnu venu spécifiquement du pays du Soleil-Levant.
A réserver ici

Pour des sandos

Imaginé par Kaito Hori, ce nouveau temple du sando prénomme Benchy vient d'ouvrir ses portes rue du Cherche-Midi à Paris. Déclinant ces sandwichs gourmands sous toutes les formes, les visiteurs les croquent aux œufs, au thon fondant, au Wagyu, au pastrami ou encore en une version sucrée aux fruits (fraise, kiwi, clémentine, banane).
50 Rue du Cherche-Midi, 75006 Paris
A découvrir ici

Petit nouveau à Paris, ce nouveau temple du sandwich sando vient d'ouvrir ses portes à côté de son ainé éponyme. Le déclinant sous toutes les formes: aux œufs, au porc ou aux crevettes panées… le lieu propose également des mochis fourrés à la noisette.
A découvrir ici

Boulangerie japonaise installée rue Rambuteau, Carré pain de mie rassemble chaque jour les amateurs du genre. Que l'on souhaite y acheter simplement le pain XXL, pour réaliser ensuite ses propres sandos, ou que l'on préfère s'y offrir ceux réalisés minute, tout est bon. Les best-sellers? Le classique au porc fermier mais aussi une version régressive à souhait au crémeux chocolat.
A découvrir ici

Pour des pâtisseries

Une pâtisserie qui puise son inspiration entre la France et le Japon pour offrir une collection de créations sucrées hybrides: dorayaki (sorte de pancakes traditionnellement fourrés de pâte d’azukis), Paris-Kyoto (interprétation du Paris-Brest au praliné maison), Baba au whisky japonais, mais aussi des wagashi (pâtisseries traditionnelles) pour les puristes.

Grand spécialiste des wagashi, Toraya initie les parisiens aux plaisirs de la pâtisserie nippone. Suivant scrupuleusement le rythme des saisons, le salon de thé décline des pépites du genre. Parmi nos préférés ? Les yokans moelleux aux figues, leur célèbre glace au matcha ou plus récemment le délice de cerisier, une fine crêpe à la farine de riz, fourrée à la pâte d'azuki rouges, servie dans une feuille de cerisier légèrement salée.

Pour boire un verre comme au Japon

Situé rue de la Sourdière, Stand Tora est ce mini bar à sake et whisky japonais. Installés au bar, sur des chaises hautes, les visiteurs y commandent donc des cocktails nippons (en particulier le Highball à base de whisky HIBIKI) ou de l'alcool pure (comme le veut la coutume japonaise, il est possible d'y consigner sa bouteille) mais aussi des petites assiettes : edamame, tamagoyaki… Le tout rythmé par des airs de jazz.
A découvrir ici

A l'étage inférieur du concept store nippon OGATA, SHUBŌ célèbre les alcools rares venu du Japon. Dans une ambiance zen à la lumière tamisée, on y commande des whiskies et autres alcools. Chacune des bouteilles pouvant également être gardées sur place pour une prochaine visite. Avec en prime, la possibilité de commander une série d'amuse-bouches.
A découvrir ici

Retrouvez sur le Vogue.fr