Chant du coq ou effluves de fumier bientôt inscrits au «patrimoine sensoriel» rural
Les députés ont voté en commission un texte visant à protéger les bruits et les odeurs de la campagne.
La cigale qui craquette ou stridule, le canard qui cancane ou la caille qui cacabe devraient continuer à émettre leurs sons si particuliers en toute quiétude, sans craindre le procès d’un humain indisposé par leurs bruits. Réunis dans le cadre de la commission culturelle, les députés ont voté ce mercredi à l’unanimité - du Rassemblement national à La France insoumise - une proposition de loi portée par le député de la Lozère, Pierre Morel-à-l’Huissier (UDI-Agir et Indépendants) et cosignée par des élus de tous bords.
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«Ce texte législatif intègre dans le Code de l’environnement, en complément de l’article L. 110-1 relatif au patrimoine commun de la nation, la notion de patrimoine sensoriel rural, explique l’auteur. Une fois que la loi sera adoptée, les régions pourront déterminer, avec l’appui des départements, quels sont les sons ou odeurs caractéristiques d’un territoire, comme par exemple la stridulation des cigales en Provence ou l’odeur du moût de raisin dans l’Hérault. Il suffira que…
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3570561 (profil non modéré)
le
Moi je vis à la campagne et cela ne me dérange pas.
Je précise que ce qui fait que notre planète est vivante ce sont ces chants d'oiseaux car si on regarde les autres planètes du système solaire, elles sont silencieuses.
A méditer.
avisalb
le
Sans certains juges bobos de gauche totalement stupides on n’en serait jamais arrivé là.
je la ferme pas
le
Le niveau de nos députés est affligeant! Il faut de temps en temps les sortir de l’assemblée ou au moins en ouvrir les fenêtres pour l’aérer!