« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
« Quand le coeur n'y est pas, il est si difficile de ne pas être oublié...»
Dyson Walters
❧ Vous connaissez peut-être qui était Dyson en connaissant les dessins-animés. Oswald, "l'ancêtre de Mickey" si on peut dire. Mais pourtant, si vous venez de la forêt enchantée, vous avez certainement vraiment connu Oswald enfant. Mais vous ne vous en souvenez plus, simplement. Ainsi vont les choses, tel était le sort d'Oswald. Esprit des enfants attitré de la Forêt Enchantée durant le siècle qui a précédé le dernier avant la malédiction, il accompagnait tous les enfants dans leur vie, s'occupant de leur bonheur, qu'ils grandissent heureux. Puis lorsque les enfants étaient plus mûrs, ils oubliaient Oswald. Jusqu'au jour où même enfants, on l'oubliait, puisque tel était le sort des esprits de l'enfance, se faire remplacer. Et pourtant Oswald fut le dernier. Par la suite envoyé à Wasteland, le monde noir et blanc des esprits oubliés, il y échappera sans savoir comment pour ensuite toucher la malédiction et devenir Dyson, psychologue à Storybrooke, par la suite père célibataire du petit Lukas. Le mois dernier, à la sortie de Wonderland, il fut confronté à un choix, celui de retourner à Wasteland et retrouver ses amis au prix de tuer le restant du groupe, ou bien revenir à Storybrooke. Depuis, il pense constamment à son monde...
Lily Jones
❧ Lily est la fille d'Aliénor De Beauregard et d'un certain pirate mort en mer. Ne nous attardons pas sur les détails, ce serait franchement chiant. Histoire de donner un coup de fouet à cette description, parlons maintenant de choses plus actuelles. Lily s'est fait virer de chez son ancien colocataire parce qu'elle avait malencontreusement laissé échapper une mygale dans l'appartement de ce dernier *si peu*, du coup elle a décidé de trouver un nouveau coloc pour remplir les tâches ingrates, et Bartok fut l'heureux élu *merci qui ? merci Lily*. Voilà tout ce qui se passe de nouveau dans la vie de Lily actuellement. Bon, puisqu'il n'y a rien de plus à raconter de ce côté là, parlons de la mer, notre chère pirate en a peur, en fait elle a peur de l'eau *ce qui est bien ironique*. Cette phobie n'est d'ailleurs pas sans rappeler la phobie d'Harmony pour la pluie, serait il possible que leur peur les rapproche ? Mh, peut être pas en fait car il ne faut pas oublier *erreur que certains ont l'audace de faire* que la jeune femme est la méchante de son conte, celle qui arrache les membres, les tatouages et qui jette les hommes à la mer. Si vous croyez jusque-là que c'était une petite princesse pleine d'entrain, vous vous foutez le coude dans l'oeil. Plus malicieuse tu meurs ! A quoi est ce que l'on peut bien reconnaître Lily ? A ses tatouages. Personne la plus tatouée de la ville *on ne le répétera jamais assez*, elle arbore des tatoos made in RavenLeCorbeau. Attention, si vous vous avisez de vous moquer d'elle, vous risquez de prendre un coup de pied au cul ! Très récemment, Lily a connu la mort de la petite Riley pendant une mission, finalement ça ne l'a pas plus affectée que ça, et le destin a donc jugé *quel filou ce destin* qu'il serait bon pour la jeune fille d'essayer de perdre ses couleurs ! Mais qui dit perdre ses couleurs, dit perdre ses sentiments... Et c'est sur ces mystérieuses paroles que ma présentation s'achève ! Bisous sur vos quatre joues bande de moches
Harmony Ambrose
❧ Harmony c'est pas le genre de fille facile à vivre. Pas du tout. Déjà, c'est une chieuse. il y a pas d'autres mots. elle adore embêter tout le monde. C'est sa passion. Ensuite, elle est extrêmement radine. Mais genre vraiment. elle pourrait même pas donner un centime. C'est la fin du monde si elle fait ça. Suite à ça, elle estime que tout se paye. Tu veux quelque chose ? Elle le négocie. Besoin d'aide ? Tout dépend de combien tu payes. Elle ne fait jamais rien gratuitement. Sauf aux rebelles de Wonderland à qui elle voue un profond respect. Elle ferait vraiment tout pour eux. Autre chose, Harmony ne s’attache pas beaucoup aux gens. Cela peut lui arriver, mais il faudrait un moment. Et, elle n'a confiance qu'en une seule personne : La reine blanche. Elle ne fait même pas entièrement confiance aux autres rebelles Wonderlandiens. Harmony est aussi quelqu'un qui adore être au dessus des autres. elle ne le fait pas remarquer mais dés qu'elle a quelque chose que quelqu'un envie, de très prisée, si elle a de meilleures notes à un examen, etc, elle sera très contente ! C'est pourquoi il ne faut jamais montrer l'envie de quelque chose devant elle. Elle va tout faire pour l'avoir et ensuite vous narguer. Harmo,ny est aussi très provocatrice et réfléchit à tout ce qu'elle fait. mais malgré tout ça, elle est pétillante et souriante et fait au moins semblant de s'intéresser aux autres... Quoi dire d'autre... Ah oui ! Harmony ne supporte pas la pluie. Concrètement, l'eau ne la dérange pas, mais la pluie, si. Depuis que ses parents se sont fait tuer par la Reine Rouge, elle a une peur bleue de la pluie. Du coup, elle ne sort jamais sans son parapluie. Même pour aller à la plage. Oui, oui, elle est folle. En même temps, vous vous attendiez à quoi de la part d'une Wonderlandienne. Enfin bref si vous voulez en savoir plus, lisez la mission !
Park Hyo-Jin
❧ Park, voilà comment tout le monde l'appelle à Storybrooke, pourtant certains savent que son prénom est Hyo-Jin, ils utilisent alors le surnom de Hyo. Dans le passé, elle était simplement connue comme une Gumiho rependant la terreur au sein de la Corée. Elle faisait en sorte de détruire tout ce qui pouvait ce trouver sur son chemin en séduisant les hommes et rendant les femmes jalouses. Son simple nom faisait trembler la Corée et tout cela par simple vengeance, mais ça s'était avant. Désormais Hyo-Jin s'était renfermée sur elle-même et avait fait en sorte de ne plus redevenir ce qu'elle était avant. Elle a construit une carapace afin de ne plus être blessée. Pourtant depuis quelques temps elle a choisit de s'ouvrir aux autres et a fait des connaissances plutôt étrange. Le rusé petit renard était désormais devenu encore plus curieux dans le passé risquant même de fourrer son museau dans les ennuis. Ses études de psychologue lui conviennent alors parfaitement afin de savoir qui elle est vraiment et surtout pour comprendre le comportement humain. Enfin cela serait trop long d'énumérer les traits de caractère d'Hyo-Jin, il suffit juste de savoir qu'elle est un paradoxe, même elle ne sait pas qui elle est, elle reste souvent indécise. Elle est un peu la Régina en version renard, autrefois méchante et aujourd'hui gentille n'oubliant pas certains traits de caractère de son passé comme son humeur parfois massacrante. L'un des plus gros défauts de la renarde ( en dehors de sa curiosité et autres, je vous vois venir ) n'est autre que son don pour l'eau. Et oui, depuis son arrivée à Storybrooke, la Gumiho a perdu son contrôle qu'elle avait sur l'eau. Qu'est ce que cela va donner avec deux amies qui on peur de l'eau dans un monde de peinture ? Elle pourrait peut-être être elle-même le danger pour les autres Et puis quoi de mieux qu'une personne qui essai de cacher son passé pour devenir une oubliée ? En tout cas, elle compte bien ne pas perdre ses couleurs quitte a devoir foncer tête baissé En fin de compte peut-être pas très futé ce renard qui débarque dans un monde oublié ?
Laure Wilson
❧ Laure Wilson ? Vous la connaissez comme étant la directrice de la boutique d’objets occultes de Storybrooke mais il s’agit en fait de la célèbre Lauren Warren, médium aux nombreux pouvoirs. Elle étais l’épouse d'Ed Warren et ils étaient tous deux un célèbre couple de parapsychologues ou chasseur de démon si vous préférez. Ils ont tous deux résolue plus de 4000 affaires durant leur vie dans l’autre monde, que ce soit des affaires de possession, de maison hanté, de potergeist ou tout autre chose du même genre mais depuis la malédiction, elle n’a pas retrouvé son mari et tente de cacher son don aux autres mais le seul hic, c’est qu’elle ne contrôle rien, elle n’arrive pas à contrôler ses visions, et ses ressentis. Sinon, Laure est une femme douce, attentionnée et maternelle. Elle possède un instinct hors du commun mais elle est surtout déterminée. Maligne, persévérante et perfectionniste la qualifie également très bien. Par sa capacité de Médium, elle est très sensible aux choses. Elle est une femme qui demeure très sensible, très à l'écoute et également sans peur. Elle est courageuse, intelligente et surtout drôle. Bon après, elle est le genre de femme qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, elle est du genre à toujours trouver une solution à un quelconque problèmes. Une chose à ajouter, elle ne se sépare jamais de son médaillon car il contient la photo de sa fille qu’elle n’a toujours pas retrouvé.
Mary Margaret Blanchard
❧ Qui ne connait pas Mary Margaret ? Ok, on va dire que vous êtes tous des idiots et je vais donc vous la présenter. Dans le monde des contes, Mary Margaret est plus connue sous le nom de Blanche-Neige, la dirigeante de tout un royaume, qui s'est toujours battue pour ses idéaux, contre la méchante reine. Du moins, jusqu'à ce que cette dernière ne gagne et n’envoie tout le monde dans le monde des contes. A Storybrooke, Mary Margaret est donc une institutrice bienveillante. On aurait pu dire que sa petite vie était tranquille, jusqu'à ce qu'elle ne tombe sur Eden et que tout devienne un véritable Enfer pour elle. Du moins, jusqu'à ce qu'Eden ne disparaisse de sa vie et que Nolan ne chamboule tout. Désormais, la brunette a retrouvé une certaine stabilité, oscillant entre ses visites à Emma et Regina et sa vie de famille avec Nolan et Lily-Rose et Nathan. Mais Mary Margaret ne connait pas encore la tranquillité parfaite, entre ses bourdes en magie et ses visites dans les différents mondes qui peuplent cette Terre... Que va t-il lui arriver maintenant ? Et bien... Lisez la mission
Mag's
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Dyson R. Parr
« Cours Dydy, cours ! »
| Crédits :Eilyam | Avatar : Tom Holland
| Métier : Aventurier, super-héros, en contrat de libraire chez Alexis et vendeur de chocolat chez Aster... et surfeur parfois
| Conte :Les Indestructibles | Dans le monde des contes, je suis :Dashiell Robert "Dash" Parr
La coalition se forme pour trouver à Aster son véritable amour
| Autres Personnalités :Icare J. Skellington - Léon Adonis - Ahsoka Tano
Maintenant vous allez me dire ce que vous avez fait Savant Fou, ou alors être enfermé dans votre propre laboratoire ne sera pas la seule humiliation de la journée.
Le lapin soutint son regard sévère vers le vieux scientifique fou. Si les couleurs existaient dans ce monde, Oswald en aurait eu le visage rouge de colère. Ca suffisait, il en avait assez que ce bon à rien nuise à Wasteland.
Le Savant Fou leva alors la tête en arrière, et ria de toutes ses forces. Oswald pencha la tête sur le côté, ne comprenant pas cette réaction.
Qu'est-ce qui vous fait tant rire ? Demanda un des amis d'Oswald, restés derrière lui.
Ces monstres... ce n'est pas moi qui les ais provoqué ! Déclara finalement le fou une fois avoir repris ses esprits. Oswald fronça les sourcils. Quand vous avez combattu mes animatronics au sommet de la montagne des déchets, vous avez libéré la bouteille de la source de notre monde. L'encre, à l'origine de la destruction et de la création mais.... Il se remit à exploser de rire. Oswald serra les poings et les dents, il ne fit qu'un bond vers lui et lui dire d'un ton menaçant entre les dents. Mais QUOI ? Vous avez intérêt à nous dire ce que vous savez si vous ne voulez pas que vos joujous s'amusent à vous taper jusqu'à l'épuisement.
Le Savant soutint son regard pendant de longues secondes, sans rien dire, comme pour le mettre au défi, se décidant finalement à parler. Il semblerait que cette fois-ci, l'encre ait plutôt un penchant pour la destruction. Vous avez libéré tout le contenu de l'encre, et l'esprit malfaisant qui y résidait. Celui que les légendes de ce monde appellent Le Fantôme. Il est venu accompagné bien sûr, plein de ces sbires, que vous avez déjà rencontré, sont venus faire quelques ménages à Wasteland. Mean Street est un peu cassée non ?
Le regard d'Oswald se fit grave. Il était le plus récent de tous les habitants de ce monde, mais la légende du Fantôme, il l'a connaissait comme tout le monde ici. Il va falloir me libérer...
Le lapin noir le regarda quelques instants avant de reculer et de demander aux deux tamias de le libérer. Quoi ? Mais Oswald...
Le Fantôme menace d'effacer notre monde entier, ainsi que nos existences. Il ne le mérite pas après avoir tenté de nous réduire à l'esclavage avec son armée d'animatronics, mais justement, il a une armée de robots. Il va nous aider, je sais qu'il a des intérêts à garder ce monde intact. N'est-ce pas ?
Il fronça les sourcils à l'égard du scientifique. Oh que oui...
Très bien. Nous ferons tous équipe pour sauver Wasteland.
Aujourd'hui, Storybrooke
On a diiisjoncté un max ! ... Je chantonnais cet air qui m'était resté dans la tête depuis le réveil. J'avais d'ailleurs trouvé cela très étrange. Après toutes ces années durant lesquelles je n'avais pas entendu cette mélodie, là voilà qui jouait dans mes pensées.
Lukas j'aime pas quand tu ne me tiens pas la main, tu cours partout et ça m'inquiète, on est au bord de la route, s'il te plait Lukas ! Hé !
Le petit diable de Tasmanie s'était engouffré dans la bibliothèque de l'horloge à toute vitesse, rapidement suivi par son père.
Lukas qu'est-ce que tu... WOW ! Lukas viens là !
Un tremblement de terre venait de se faire ressentir... pendant deux ou trois secondes pas plus. La tension s’apaisa. Il y avait quelque chose d'étrange dans l'atmosphère...
Viens, dis-je en prenant Lukas dans mes bras. On s'en va.
Mais au moment où je m'apprêtais à sortir, un bruit retentit derrière moi. Quelque chose venait de s'ouvrir sur le sol. Un portail... A ce qu'il me semblait, Hadès n'avait pas annoncé l'ouverture vers le monde des contes aujourd'hui alors...
Un papier sortit du portail, et tandis que celui-ci se refermait, le bout de papier tombait sur le sol. Il s'était produit quelque chose d'étrange lorsqu'il était sortit de la porte magique. D'abord gris, il était devenu jaune pale en entrant dans l'atmosphère de Storybrooke.
Je ramassai et le dépliait.
OSWALD !
Un frisson me parcouru l'échine. Personne ne connaissait cette identité dans d'autres mondes. Mis à part...
Il faut vraiment qu'on s'en aille !
Je me précipitais pour sortir, mais une fois dehors, un nouveau portail s'ouvrit au plein milieu du centre ville. Il était différent.
Celui-ci nous aspirait. J'avais un très mauvais pressentiment.
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Il faisait un grand soleil. On sentait facilement l'été à Storybrooke; Il n'y avait aucun nuage aux alentours. Pourtant, ma peur bleue de la pluie m'avait fait prendre un parapluie. J'étais donc sorti, le parapluie à la main, et habillée d'une tenue noire et blanche avec des talons assortis. J'aimais beaucoup cette tenue, malgré son manque de couleurs. Les gens me regardaient bizarrement avec mon parapluie qui pendait à la main. Dans ma poche, mon portable, comme d'habitude et dans l'autre un paquet de mouchoirs dont un déjà utilisé. Je m'étais mouché ce matin, alors je m'étais dit qu'un paquet de mouchoirs serait le bienvenu après tout. Je me dirigeais vers le centre-ville. J'aimais bien sortir quand je n'étais pas au travail, ça me permettait de décompresser et de voir des gens. Mais, il est vrai que j'évitais la bibliothèque de la tour de l'horloge en ce moment, maintenant que je savais qu'Alice s'en occupait. Mais, une boutique de bijoux se situait juste à côté et du coup, j'étais bien obligée de passer devant. J'aperçus Dyson de loin, tenant la main de son fils. enfin, je supposais. Il m'en avait déjà parlé mais c'était la première fois que je le voyais. Il ne m'avait pas vu, tant mieux. je n'avais pas vraiment envie de discuter aujourd'hui, et je n'étais pas asssez en forme pour lui envoyer des piques. Même si j'avais très envie de discuter avec son fils -bien plus mignon que son père, d'ailleurs-. Alors que je passais devant la tour de l'horloge, un tremblement de terre se fit ressentir. il ne dura que quelques secondes, mais je me dus quand même me tenir à la canne de la vieille dame à côté de moi pour ne pas tomber. Cette dernière me lança d'ailleurs un regard noir avant de partir un peu plus loin. Je roulais des yeux, les personnes âgées de nos jours... Même pas capable d'aider des jeunes filles comme moi en détresse... Mais où va le monde ?! Je me retournais et vit une sorte de portail. Ou un trou noir. Je ne savais pas. Il était en train de m'aspirer. je jurais et me demandai pourquoi j'avais laissé la vieille dame partir à laquelle j'aurais pu me tenir pour ne pas me faire aspirer. Mais, il était trop tard, elle était partie et moi j'allais mourir aspirée par un trou noir.
En tombant, j'eus des flashs de mon passé à Wonderland. Je me vis, heureuse, avec mes parents, puis je vis mon amitié naissante avec Caitriona, la Reine blanche. Je me vis ensuite plus grande, entourée des rebelles Wonderlandiens et en train de me préparer pour aller espionner la reine Rouge. Je vis ensuite des moments bien plus tristes. le jour où je fus découverte à cause de la pluie. Le jour où la Reine Rouge décida, en ne parvenant pas à me trouver, de tuer mes parents au lieu de moi. Tout cela pour m'attraper. une larme coula sur ma joue que j'enlevais très rapidement. Et je tombais dans la forêt de Storybrooke. Sérieusement ? La forêt de Storybrooke ? Je m'étais inquiété de tomber dans un portail pour au final me retrouver dans la forêt de Storybrooke. Mais je me rendis rapidement compte qu'elle n'était pas comme d'habitude. Et que je n'étais pas seule. En effet, tout était en noir et blanc, les seuls couleurs présentes étant les nôtres et un espèce de liquide vert qui coule un peu partout sur le sol. Les arbes étaient bizarres ausi. Ils avaient des bouches et des yeux et j'avais l'impression qu'ils... ronflaient. j'espérais seulement que c'était une impression sinon c'était vraiment bizarre... Les autres personnes, j'en reconnus quelques unes, d'autres non. Il y avait Dyson et son fils, Park, sa stagiaire, Laure, une amie, et une jeune fille brune. Je m'approchais de Dyson, et décida qu'il serait le bouc émissaire. Il falllait bien que je trouve quelqu'un à accuser. En vérité, je ne savais pas du tout comment on était là, mais c'était bien plus marrant d'accuser Dyson. Surtout devant son fils.
-Tu vas tout de suite me dire où tu m'as emmenée et comment on s'en va ? Parce que je ne compte pas rester dans un monde aussi moche ! Merci bien !
Je me penchais ensuite vers son fils, Lukas et lui fis un joli sourire.
-C’est lui ton fils ? Il est trop mignon ! Il ne te ressemble pas du tout !
J'adressais un grand sourire à Park que j'avais rencontrée et à Laure. Je ne savais pas qui était l'autre fille mais elle se présenterait bien, non ?
Cause when we are good, we're grand, but when we're bad we are very bad. But I stick around 'cause the love that you're giving me is the best I've ever had. Oh, oh, oh, oh. And it's funny to me, the way that things have worked out. There's no doubt in my mind that you can't recall what this all was about. So let's give it up. Love me sweetly and completely Come and sit beside me 'cause you know I need you near. When you're wheelin' with that feelin' we'll paint the town pink 'cause baby, red is so last year.
« Ed ! Je sais ce qu’elle a fait. J’ai vu ce qu’elle a fait, je sais ce qu’elle a fait. Elle a pris possession de la mère pour tuer l’enfant. Elle visite Carolyn toutes les nuits, c’est ça qui cause les ecchymoses, elle se nourrie de Carolyn ! »
Les croix tombent, les cheveux de Nancy deviennent électrique et l’esprit s’énerve, il l’envoit contre la vitre et là… J’ouvre les yeux, je suis à Storybrooke. Mes yeux bleus fixant le plafond. Encore ce rêve. Mon don n’en fait qu’à sa tête. Les Perron…Je n’ai pas pu les aider. Ed me manque tellement. Je respire longuement et finit par me lever avant de me rendre dans la salle de bain. Un doliprane plus tard, je passe sous la douche avant de descendre manger quelque chose. Je suis habillée d’un débardeur blanc, d’un pantalon noir, d’une paire de ballerines noires et j’avais enfilé un long gilet beige. Mon médaillon contenant la photo de ma fille autour du cou, je quitte la maison avant de me rendre en centre-ville.
Bien sûr comme chaque fois, je passe devant la tour de l’horloge pour me rendre à la boutique. Mon esprit était pensif. Je ne me rends compte que trop tard, du tremblement de terre qui a lieu et je tente tant bien que mal de me tenir au rebord de la fenêtre du bâtiment qui était à côté de moi et alors que je pense être tirée d’affaires, un portail s’ouvre et m’aspire à l’intérieur avec d’autres personnes. J’hurle, je me sens tombée, tout est noir mais lorsque je me concentre, je me rends compte que des flashs de ma vie passée me viennent en tête. Je me vois enfant avec la sorcière qui m’a donnée ce don. Je me vois avec Ed’ durant l’une de nos enquêtes dont l’exorcisme m’avait rendu très malade.
Je vois ma fille, je vois nos séances de voyance, je nous vois arrivant tous les deux jusqu’à la maison des Perron, je vois le regard de Carolyn, je me revois tombant à travers le plancher avant de voir les esprits présents dans l’ancienne ferme et l’esprit démoniaque. Je me revois remontant en hurlant avant de me mettre à pleurer dans les bras d’Ed puis je finis finalement par retomber lourdement sur le sol. On est dans la forêt de Storybrooke. Je me relève en toussant légèrement, me dépouissiérant avant de me masser le cou qui était quelque peu douloureux et pose mon regard sur les personnes présentes, mise à part Harmony et Dyson, je ne connais pas les autres personnes présentes.
Mais alors que je regarde autour de moi, je me rends compte que tout est en noir et blanc et les arbres sont étranges… Mais le plus étrange, c’est la couleur verte qui découle sur le sol et le fait que nous soyons tous en couleur. Mais où étions nous ? Harmony ne tarde pas à s’énerver et à demander à Dyson de nous dire où nous étions et comment rentrer. Je m’approche de Dyson avant de finalement reprendre :
« Ne lui en voulez-pas, elle s’est sans doute levée du pied gauche ce matin. » dis-je en faisant un léger sourire à Harmony avant de ramener mon regard vers Dyson « Où sommes nous ? Et les arbres ronflent-ils réellement ? Pourquoi tout est en noir et blanc ? »
Je ne le quittais pas des yeux, attendant sa réponse avant de reprendre :
« Je ne me suis même pas présentée…Je m’appelle Laure Wilson mais vous pouvez m’appeler Lauren, c’est mon vrai prénom, oui je m’appelle Lauren Warren, enfin dans l’autre monde. Enfin c’est comme vous le préférez. » dis-je avec un sourire avant de tourner le regard vers le fils de Dyson « Harmony n'est pas méchante tu sais... » dis-je avec un sourire.
Je souris et retourne vers Harmony, attendant que les autres se présente et surtout attendant de savoir où on est et pourquoi on a eu ses flashbacks…
Il était plus que temps pour moi de déménager. Depuis quelques temps, même si mon emplois du temps s'était chargé avec le nouveau stage, les fins de mois étaient devenues difficiles. J'allais sans doute devoir quitter mon appartement dans les jours qui suivaient. Je n'arrivais plus à payer et on ne pouvait pas dire que je roulais sur l'or avec mon job au zoo surtout que je devais payer la faculté à côté. D'ailleurs il était grand temps de travailler aujourd'hui et comme à mon habitude j'étais en retard. Décidément, j'avais vraiment le chic pour ne pas m'organiser correctement ! La chasse s'était terminée tard hier soir, je ne trouvait pas vraiment de gibier à me mettre sous la dent. J'aurais mieux fait d'aller au supermarché du coin mais chasser était un plaisir que je gardais de mon passé de renard. Pour complet le tout, ce matin, j'avais eu la bonne idée d'arroser mon appartement ! C'est d'ailleurs l'une des raisons de mon manque d'argent, mes continuelles inondations dans l'appartement devenait un véritable problème et pas seulement pour moi. Les autres locataires m'en voulaient aussi. Tout comme le proprio, mais si seulement ils savaient que je ne le faisais pas exprès. Tout cela était dû au fait que mon don pour l'eau était devenu incontrôlable depuis quelques temps et cela à mon plus grand malheur. Le propriétaire commençait vraiment en avoir marre. J'étais sûre de me faire expulser dans les jours à venir...
Alors que je marchais vers le zoo, un tremblement de terre surgit au moment où je passais devant la grande horloge, me déstabilisant alors, même si je retrouvai rapidement mon équilibre avec une grâce que seul un renard pouvait avoir. Je fus rapidement tiré de mes pensées d'argent pour constater qu'un trou noir venait d'apparaître au centre de la ville et m'entraînai avec d'autres personnes dans un tourbillon de souvenir. Je fus surprise, mélancolique et en colère de revoir son passé de méchante resurgir. Je me voyais tuant, manipulant, puis le coeur brisée... Ce flux de souvenir était trop douloureux, je me serait bien passé de les revivre.
Lorsque j'atterris enfin, je fus soulager de remarquer que je n'étais pas la seule, d'ailleurs je connaissais la plupart d'entre eux. Il y avait Dyson et sans doute son fils -le pauvre petit que faisait-il là- ainsi qu'Harmony et Lily et deux autres femmes qu'elle ne connaissait pas. Harmony fut la première à réagir en s'énervant contre Dyson et en lui faisant des remarques avant de se retourner vers nous avec un sourire que je lui rendis. Elle devait sans doute être satisfaite de ce qu'elle avait fait et elle avait dû vouloir passer ses nerfs sur quelqu'un. Ce fut alors au tour d'une jeune femme de prendre la parole, elle posa alors les questions que tout le monde se demandaient. C'est à cette instant que je fis attention à ce qui m'entourait. Il y avait effectivement des arbres qui ronflaient et une absence de couleur régnait dans le paysage. Seul un liquide verdâtre bizarre était de couleur. Enfin eux aussi mais ça s'était normal. Je me levais alors à mon tour pour ne plus rester sur le sol douteux en me secouant les vêtements.
-Je ne sais pas du tout où nous pouvons avoir atterrit. Pourtant au première abord on dirait la forêt de Storybrooke non ?
Tout le monde semblait tout de même assez perplexe face au lieu qui se dessiné devant eux.
- Et puis Harmony, je ne suis pas sûre que Dyson en soit pour quelque chose. Au faite, je suis Park Hyo-Jin, dis-je en me présentant en réponse à Laure, mais vous pouvez m'appeler comme vous le souhaitez.
Désormais, tout le monde ce regardaient en cherchant des explications à ce qui venait de se passer sans comprendre réellement ce qui avait pu les attirer ici et les réunir.
C'était enfin les vacances pour l'institutrice qu'était Mary Margaret. Et quoi de mieux que de s'occuper des enfants avant qu'ils ne grandissent trop vite. Parce que depuis sa dernière conversation avec Nolan, la brune avait peur de passer aux côtés des moments les plus importants de ses enfants. Alors aujourd'hui, elle était bien décidé à passer du temps avec ses filles. Oui, ses filles. Parce que ça faisait bien un moment qu'elle n'avait pas vu Emma. Et puis, elle devait profiter du fait que Nolan avait emmené Nathan se promener au parc.
Ce jour là donc, la princesse se promenait dans les rues de Storybrooke avec Lily-Rose qui gambadait à ses côtés, attentive à tout ce qu'il se passait alentour. Un peu trop attentive d'ailleurs puisqu'elle se mit à courir après un petit garçon - un peu plus grand qu'elle.
- Hey Lily, reviens ici ! T'as pas l'âge de courir après les garçons !
Et c'est donc une Mary Margaret qui courait après sa fille que nous retrouvons plus tard, par terre, alors qu'un léger tremblement de terre avait eu lieu, près de la bibliothèque... Bibliothèque où venait de rentrer sa fille, à la suite du petit garçon. Sans attendre une seconde, la maîtresse d'école se releva pour rattraper sa fille à l'intérieur de la bibliothèque... Mais c'était sans compter sur l'erreur qu'elle venait de commettre. Oui, parce qu'au milieu de la pièce se trouvait un portail qui aspirait tout sur son passage ! Les ennuis recommençaient... Oui, parce que bien évidemment, Lily-Rose s'était faite aspirée, donc elle n'avait d'autres choix que de la suivre... Faites des gamins, qu'ils disaient...
Durant toute sa chute, Snow revoyait donc des images de son passé : d'abord la mort de sa mère, puis sa rencontre avec Regina, sa promesse de ne rien dire à Cora, sa promesse qui vole en éclat, la mort de son père, sa lutte contre Regina et... Et bien elle percuta la sol en fait. Et elle ne prit même pas deux secondes pour se remettre de ses esprits en se relevant pour récupérer sa fille qui pleurait à grosses larmes.
- PAPAAAAAAAAAAAA!
Pourquoi jurait-elle toujours sur son père ? Et puis d'ailleurs, Nolan ne devrait pas être très loin... Ou du moins, leur maison n'était pas loin puisqu'ils se trouvaient dans la forêt de Storybrooke.
- Allez calme toi... On va rentrer à la... - Où sommes nous ? Et les arbres ronflent-ils réellement ? Pourquoi tout est en noir et blanc ?
Les arbres ronflent ? Non mais attendez ?!? La brunette se retourna alors pour voir les arbres ronfler et la forêt de Storybrooke sans couleurs. Elle arqua alors les sourcils, avant de fixer les autres protagonistes et de voir le gamin qui avait attiré sa fille dans ce piège...
- TOI ! J't'interdis de draguer ma fille !
Bon évidemment, le gamin n'avait pas compris pourquoi il se faisait disputer et il était en train de pleurer. Génial, deux gamins à réconforter maintenant... Et un portail à retrouver pour rentrer dans leur monde...
- Je ne veux pas paraître désagréable mais on pourrait passer les présentations ? J'crois qu'on est un peu dans la merde... Et je suis Mary Margaret si vous voulez me donnez un nom...
Parce que contrairement aux autres, elle avait des choses à faire, et l'exploration ne la tentait plus depuis son passage dans le monde de Lara. Elle attrapa donc sa fille dans ses bras, lança un regard noir à l'autre gamin. Génial, elle louperait encore ses obligations avec Emma...
"Il fait beau les oiseaux chantent" qu'elle disait la dame de la météo. Eh bein y se trouve qu'elle avait raison, ça faisait même pas deux minutes que t'étais dehors que ta peau avait déjà pris vingt nuances de marron supplémentaires. C'est donc tout naturellement que tu avais voulu faire hommage à tes lunettes neuves. Tu les trouvais fantastiques, vraiment, elles étaient noires, articulées et ressemblaient aux oreilles de mickey. Bref, elles avaient tout pour te plaire. Pour aller avec cette magnifique monture, t'avais choisit une tenue sur le thème de Mickey -on a le total look ou on l'a pas-. Et pour terminer, tu avais enfilé des converses rouges qui n'étaient pas si confortables qu'elles le semblaient. Enfin bon, tout ça pour dire que tu avais quelque chose de plus décent qu'un pyjama sur le dos quand tu avais décidé de t'aventurer dans la ville. Il faut avouer que c'était un endroit que tu n'affectionnais que très peu, avec tous ces gens qui te connaissaient et ce manque de navires. Une idée avait naquit dans ton esprit ce matin là, une idée fort sympathique: un nouveau tatouage. Normalement, il fallait remplir des documents et en discuter avec le tatoueur avant, mais en allant chez Raven, tu étais sûre de ne pas avoir de problèmes, elle acceptait toujours de tatouer les gens, et encore plus quand leur santé morale était en danger. La clochette insupportable de la porte tinta, et tu entras dans le "cabinet" de Raven, la saluant d'un geste respectueux de la tête. Bref, il se passa un petit moment, disons une demie-heure, avant que tu ressortes en souriant bêtement. Et un tatouage de plus, le long du poignet droit cette fois. Un film plastique recouvrait donc ce dernier, collant d'une façon désagréable à ta peau. Tu aurais voulu l'enlever, mais les infections n'étaient pas vraiment ton kiffe alors tu acceptais docilement d'être enrubannée dans du papier transparent. C'est en sortant de chez Raven que tu sentis cette secousse, assez forte pour te surprendre mais pas assez pour te faire perdre l'équilibre. Tu haussas doucement un sourcil, alors intriguée par ce qui était en train de se passer. Une sorte de portail ténébreux c'était ouvert en face de toi, aspirant quelques personnes sur son passage. Un sourire malicieux s'étira doucement sur tes lèvres et une lueur folle commença à briller dans tes prunelles. Tu t'approchas lentement de portail et tendis la main par "mégarde" afin de te faire aspirer.
ZOUP !
C'est le bruit que tu entendis en traversant le portail, comme une fermeture éclaire que l'on remonte. Le sourire qui c'était dessiné sur tes lèvres ne fit que s'étirer de plus belle, encore une aventure mouvementée avec des gens qu'on a envie de claquer et des choses étranges.
ZOUP !
Et puis des souvenirs, ton enfance et ses genoux blessés, les bals de princesse auxquels tu étais conviée, ta carrière en temps que pirate des terres et ensuite en temps que pirate des mers. Enfin, pas des trucs désagréables quoi, seulement des réussites. Et puis...
ZOUP !
Maintenant sûre que tu avais été agressée par une fermeture éclaire, tu tombas au sol dans un bruit sourd. Tu grognas en te relevant, faisant craquer les muscles de ton cou. Bon, l'analyse de la situation fut la suivante: T'étais dans une forêt, avec de l'herbe grise et pas de crapauds en vue. Tu retins une injure avant de t'étirer, comme sortie d'une longue nuit de sommeil. Même si ton délire actuel c'était d'avoir un rat, les crapauds restaient tes animaux préférés ! Tu époussetas tes vêtements et partis te balader dans cette forêt pour le moment inconnue. Des arbres, de la terre et des choses en noir et blanc. Tu savais très bien où est ce que tu te trouvais. Tu l'avais su au premier coup d'oeil... Tu revins vers le groupe en baladant ton regard de droite et de gauche. Avançant tes lunettes sur le bout de ton nez afin d'y voir un peu mieux. De la couleur et de la non-couleur... Un personnage un tantinet laid commença à s'en prendre à Dyson -lequel avait une mine-telle que tu étais à présent certaine de te trouver dans le monde des esprits oubliés-. Tu te retins d'anéantir l'énergumène, t'éloignant quelque peu pour reprendre ton souffle. Très récemment, tu avais envoyé une bonne demie douzaine de personnes se faire soigner. Nez cassé, mâchoire déboitée, pouce retourné, dents arrachées. La raison de tout ce bordel était la suivante: tu t'étais intensément mise à la boxe, choisissant la force plutôt que les mots. Ton sang pris une couleur rouge fluorescente, visible dans tes tatouages et brillant dans le paysage décoloré de ce monde. Bon résumons, il y avait Parquet -ta meilleure amie et camarade de débauche-, Monsieur Dyson, Lukas, une meuf qui posait trop de question, la un-tantinet-laide et une autre dame qui s'en prenait à Lukas. Euh pardon ? Ton sang ne fit qu'un tour dans tes veines. Tu connaissais peu Lukas mais tu t'étais attachée à ce petit gars phobique des pantalons. Tu tapotas l'épaule de l'agresseuse qui leva les yeux vers toi, et t'apprêtas à lui carrer ton poing dans la figure quand on te retint. Tu fronçais excessivement les sourcils, brillant de toute part telle une boule disco humaine. La personne qui t'avait empêchée d'envoyer quelqu'un à l’hôpital était en fait Parquet à qui tu lanças un regard meurtrier avant de t'adoucir. Tu commenças à respirer lentement, mordillant avec acharnement l'intérieur de tes joues. Parquet savait que tu avais des problèmes avec les émotions en ce moment, mais la colère était l'une des pires, tu faisais de plus en plus de crises inexpliquées. Le lancé de chaises par la fenêtre était une expérience assez récente... Tu souris, décidant de positiver.
-Lily Jones, tu fis une pause puis complétas d'un air aimable, Monsieur Dyson, Parquet, Lukas, contente de vous revoir. Il faut croire que je ne serais pas entourée que d’abrutis finis. A ces mots, tu observas avec insistance l'agressive et l'énergumène, soutenant leurs regards en haussant les sourcils. Et ça croyait que parce que c'était plus vieux ça faisait plus peur, ou c'était plus puissant ? Tu laissas échapper un petit rire. Cette aventure allait être une épreuve, peut être même plus sur le plan social que sur le plan ahhh-les-méchants-nous-attaquent !!
« Sur la piste du train de la mystérieuse forêt de Storybrooke»
Bien des décennies plus tôt, à Wasteland
Vous êtes désespérés à ce point ?
Oswald fixait les pauvres Revenants Solitaires qui le regardaient avec des yeux plein d'espoir. Il soupira. Bon d'accord, si vous y tenez vraiment, je vous aiderai à lui faire peur. Vous savez que le but des toons Revenants est d'amuser en faisant peur, mais généralement, sans aide, c'est votre job ! Il se grattait la tête. D'ailleurs, vous n'êtes même pas obligés de faire peur ici...
Oui, mais on s'ennui ici ! Et puis on évite le manoir, l'orgue nous fait peur, justifia Jasper, le chef. Et puis allé, ils adorent être terrifiés ! renchérit alors Grubb, le plus petit. Juste qu'on a un peu de mal... finit Boo avec un ton honteux.
Oswald ria. Haha, c'est vrai qu'au niveau effrayant, on a fait mieux !
Allez, tu viens ? S'impatienta Moss.
Aujourd'hui
Je plissai les yeux. Mon dos était tombé sur une racine. Je me frottai la tête, me redressant soudainement lorsque je sentis que Lukas n'était pas dans mes bras, me soulageant en le voyant juste à coté d'un arbre. Nous étions dans la forêt de Storybrooke. Finalement le mauvais pressentiment que j'avais eu était infondé. Tant mieux, je dirai.
Hum. Attendez...
La forêt de Storybrooke semblait un peu malade. Pour une raison toute simple : il n'y avait pas de couleurs. Aucune couleur. A part une, le vert des marais qui couraient par-ci et là. Je soupira. Et nope, on n'y était bien en fait...
Hum. Attendez...
Dans mes souvenirs, les marais étaient bien plus sombres. Et n'avait rien à voir avec la forêt de Storybrooke. Pourquoi ressemblait-elle à ça ?
Je pris Lukas dans mes bras, une angoisse commençait à naître dans mon ventre. Tu vas tout de suite me dire où tu m'as emmenée et comment on s'en va ? Parce que je ne compte pas rester dans un monde aussi moche ! Merci bien ! C’est lui ton fils ? Il est trop mignon ! Il ne te ressemble pas du tout !
Je fis les gros yeux, figé et stupéfait devant celle qui se présentait devant moi.
Harmony ?! Mais qu'est-ce que tu fais là ? T'es pas censée être là ! Moi non plus, en théorie, mais toi encore moins !
Ne lui en voulez-pas, elle s’est sans doute levée du pied gauche ce matin. Où sommes nous ? Et les arbres ronflent-ils réellement ? Pourquoi tout est en noir et blanc ?
Je me tournai vers Laure. Et les autres. Je ne pus m'empêcher de revoir la traversée du miroir de Wonderland. Un voyage inattendu qui s'était terminé très très mal. Bien plus qu'il ne s'était déroulait. On doit vraiment trouver un moyen de sortir d... Tu as dis quoi ? Les arbres ronflent ?
Je me tournai vers le premier arbre. Déjà que les gros arbres sinistres des marais avaient grandement maigris pour ressembler à ceux de Storybrooke, les voilà qui ronflaient !
Ils ne sont pas censés ronfler ! Ils ne dorment jamais normalement ! Héééé ! Reveillez vous ! Vous êtes censés aider les Revenants, il n'y a-t-il donc plus personne à effrayer ici ?
TOI ! J't'interdis de draguer ma fille ! Je me retournai, surpris par la femme qui venait de hurler sur Lukas, lui donnant un ordre, déjà qu'osé, surprenant, qui fit peur à celui-ci et le fit pleurer. VOUS ! J'vous interdit de parler comme ça à mon fils où votre fille pleurera le visage blessé de sa mère !
Lily, dont la présence me soulagea et fit sourire Lukas, sembla sur la même longueur d'onde et se prépara à la frapper avant que Park, dont la présence me soulagea également, l'en empêcha.
Monsieur Dyson, Parquet, Lukas, contente de vous revoir. Il faut croire que je ne serais pas entourée que d’abrutis finis.
Ils commencèrent à se présenter, tandis que je m'inquiétais pour ce lieu, qui non seulement ressemblait un peu trop à Storybrooke, et qui, peu importe son aspect, était IMPOSSIBLE d'y accéder.
J'crois qu'on est un peu dans la merde... On est pas un peu dans la merde. On est vraiment dans la merde. Bienvenue à Wasteland, totalement peuplé d'êtres surprenants et jovials que l'on nomme toons, de toutes formes vivantes, que vous avez surement connu durant votre enfance si vous étiez heureux, humains et originaires de la Forêt Enchantée, avant que vous ne les oubliiez, leur retiriez leurs couleurs pour les envoyer ici. J'étais l'un d'entre eux, et je m'appelais Oswald. Vous voilà dans les Marais, ce truc vert qui coule autour de vous, ne le touchez pas, si vous voulez une idée, c'est acide et peut vous blesser, c'est du dissolvant à couleurs. Pour une raison que je n'explique pas, ce lieu ressemble à Storybrooke désormais, et les arbres s'y sont endormis. Si on ne sort pas vite fait d'ici, vous risquez d'être oubliés par vos proches.
Je me retournai, inspectant le sol. A vrai dire, je ne sais pas comment en sortir, puisqu'il est normalement impossible d'y entrer à moins que vous soyez fait d'encre et que vous soyez oublié -remarque j'en suis bien sorti sans savoir comment. On devrait commencer par rejoindre Mean Street, je connais quelqu'un qui pourra surement nous aider. Si on cherche bien autour de nous, on devrait trouver des rails... Bingo !
Sautant par-dessus le dissolvant, je m'approchai d'un bout de métal caché sous les feuilles. Je l'époussetai, puis le touchai des deux mains, me demandant si le train était toujours en service.
Les rails vibrent, le train doit encore fonctionner.
Bien sûr qu'ils fonctionnent ! Fit une voix derrière moi. Je me retournai, et faillit faire une syncope en voyant un homme gris translucide derrière moi.
La question est... qui êtes vous ? Demanda un autre spectre qui apparut soudainement derrière Mary Margaret.
Je fis les gros yeux en comprenant. Les Revenants Solitaires ?! Comment ça se fait que vous ressembliez à des humains ?
Celui qui se trouvait près de moi, tandis que deux autres apparurent non loin, me regarda avec un air curieux, avant d'illuminer son visage d'une grande joie en comprenant. Oswald !J'aurai bien crié ton nom, mais sous cette forme, j'ai du mal à vous différencier.Moi c'est Jasper mon pote ! Si on ressemble à ça, c'est à cause de la malédiction, tout comme toi, on ressemble tous à des humains. Ca me rend un peu triste, autrefois on avait tous des apparences différentes, animaux, humains, ou fantômes ! Mais maintenant...
C'est pour ça que Wasteland ressemble à Storybrooke... On l'appelle Wastebrooke aujourd'hui, précisa Grubb. Si vous êtes restés ici, comment ais-je été emmené à Storybrooke ? C'est une bonne question, et si on allait voir Gus ? J'suis sur qu'il peut trouver des explications ! Tu nous as manqué tu sais. Allez, venez toi et tes amis humains, on va prendre le train !
Je me retournai vers les autres. Les amis, je vous présente les Revenants Solitaires, Grubb, Boo, Moss, et Jasper le chef. En réalité, ce ne sont pas vraiment des revenants, puisqu'ils ne sont pas morts. Leurs forme de toons a simplement adoptée celle de spectre, ou de fantôme si vous préférez. Hum, ça va Laure ? Bref, partants pour un tour en train avec les Revenants Solitaires ? Rassurez-vous, ils sont gentils et pas très doués pour faire peur (quoique aujourd'hui....) Dis-je en chuchotant la dernière phrase.
♥°•.¸ Once ☆ Upon ★ a ☆ Time ¸.•*´♥´*•.¸°•.¸ Disney ☆ R ♥ P ☆ G ♥
Cause when we are good, we're grand, but when we're bad we are very bad. But I stick around 'cause the love that you're giving me is the best I've ever had. Oh, oh, oh, oh. And it's funny to me, the way that things have worked out. There's no doubt in my mind that you can't recall what this all was about. So let's give it up. Love me sweetly and completely Come and sit beside me 'cause you know I need you near. When you're wheelin' with that feelin' we'll paint the town pink 'cause baby, red is so last year.
Bon apparemment, on était dans un monde sans couleur, un monde où sont envoyé tous les toons oubliés par les enfants. Plutôt étrange. J’écoutais sans réelle attention ce que disais Dyson avant qu’il nous dise de nous méfier de la couleur verte sur le sol qui était du dissolvant à couleur avant que je ne comprenne que ce n’était pas normal que les arbres ronflent et que c’était pas normal que tout ressemble à Storybrooke. Mais où on était tombé sainte mère de dieu ? J’haussa les sourcils. Être oubliés par nos proches ? Non il en était hors de question, je ne voulais pas que Judy m’oublie et je ne voulais pas non plus qu’Ed’ m’oublie. On devais vraiment sortir d’ici.
Je suivis donc le mouvement et sauta par-dessus le dissolvant avant qu’on ne se stoppe vers des rails et que Dyson nous fasse comprendre que le train fonctionnait encore avant qu’on ne soit rejoins par des hommes, mais je ressentais…non je ressentais, ce n’était pas des humains…c’était des fantômes. Je recula d’un pas, puis de deux, je ressentais tout. Je ferma les yeux et tenta de contrôler mon don et finis finalement par rouvrir les yeux en les voyant tous retourner vers moi :
« Oui oui. Ça va. » répondis-je simplement.
Bien que ça n’allait pas du tout, loin de là même. Je me contente donc de suivre le mouvement, ne souhaitant pas rester dans la forêt, surtout que là tout de suite, tous mes sens sont en éveil. Mais alors que l’on avance, les fantômes tournent autour des enfants complètement émerveillés, je tente de dire quelque chose mais Dyson me coupe avant d’expliquer :
« C'est normal, nous sommes des esprits de l'enfance et ils n'ont pas vu d'enfants depuis des siècles »
Je comprends mieux maintenant, enfin je crois que je comprends. On marche pendant quelques minutes et levant le regard, je remarque que des lanternes sont accrochées aux arbres mais les contours des lanternes sont transparents. Deviendrais-je complètement dingue ? Sans doute. Je sers doucement mon chapelet contre moi et continue de marcher. Mais alors qu’on marche, je ne tarde pas à entendre au loin des portes qui claquent, je me stoppe et respire longuement.
« J’entends quelque chose… »
Une voix, un murmure. Mon don ne me trompe jamais. Je respire longuement et écoute :
« Le manoir est à MOI ! Quiconque m'envahit de nouveau et je l'écrase sous le poids de mes notes ! »
Ok. Donc…Bon…On va dire que Lorraine Warren est de retour. Je tourne le regard et essaie de comprendre d’où à pu venir le murmure.
« Méfiez vous… » dis-je simplement.
Sans réfléchir plus longtemps, je m’avance à l’endroit même d’où vient le bruit avant d’apercevoir un manoir au loin avec une grande cour et un portail noir. Dyson soupire, il murmure simplement un « Oh non pas encore. », je tourne le regard vers lui :
« Quoi pas encore ? »
Les Revenants bien que j’ai du mal à rester stoïque commencent à trembler avant de demander si on peut retourner chercher le train, je m’approche du portail :
« J’ai entendu quelque chose, je dois en avoir le cœur net. »
Au moment où je me retourne, le portail s’ouvre de lui-même. Sans plus attendre, je m’aventure dans la cour. Je remarque rapidement que les revenants solitaires restent derrière le portail :
« On se retrouve à la sortie hein. »
Je ne fais pas attention à eux et avance, suivie des autres. Je remarque rapidement les grandes flaques vertes omniprésentes. Du dissolvant comme l’avait dit Dyson.
« Faites attention où vous mettez les pieds. » dis-je tout en avançant en priant pour ne pas tomber dans le précipice dont on ne voit pas le fond.
Le Manoir se trouve à quelques mètres de nous, il semble être fait en vieux bois et la porte est fermée. Je continue de marcher, déterminée à ouvrir la porte mais je sens rapidement que le sol descends quelque peu. En regardant bien, je remarque très rapidement que c’est un gros bouton carré avec une enclume dessiné dessus, un peu comme dans les dessins animés. Je lève le regard et le grincement me fait comprendre que la porte s’est ouverte. Sortant du bouton, je remarque très vite que la porte s’est refermée. Il faudrait donc quelque chose pour que le bouton reste appuyé. Dyson arrive derrière moi et me fait comprendre de ne pas rester là avant que je ne lève la tête et ne remarque une grosse enclume juste au dessus de moi.
Je ne tarde pas à sortir du bouton et la porte se referme mais souris en comprenant que j’avais surement la solution à notre problème. Une énorme enclume accrochée à un vieil arbre, l’enclume serait parfaite non ?
« Si je sors du bouton, la porte se referme. Si je reste dessus, la porte s’ouvre. Il faudrait que l'enclume qui se trouve au dessus de ma tete se retrouve sur le bouton. Quelqu'un n'aurait pas un ciseau ou quelque chose pour couper la corde par hasard ? »
Les ronflements des arbres…Tous les arbres sont censés ronfler mais celui là non…Respirant longuement, je m’approche et pose la main dessus. Rien. Il ne ronfle pas, c’est un arbre mort. « Paix à son âme. » énonce Dyson. Descendant ma main, je remarque que le tronc ne semble pas très solide. Me reculant légèrement, je mets un coup de pied dans le tronc et ce dernier se rompe avant que l’enclume ne tombe sur le bouton mais sans un gros bruit. Juste un simple « POUF » comme si elle était tombée sur un coussin. La porte du manoir s’ouvre. Levant le regard et sans attendre un quelconque avis, je m’élance vers le Manoir, espérant que les autres me suivent.
En avançant, je remarque très rapidement une flaque noire qui dénature parfaitement avec le noir et blanc du monde dans lequel on se trouve. Mais alors que j’allais pour avancer, la flaque tombe sur la terrasse, bouge, grandie et prends forme d’un balai tout noir, avec des bras tenant un seau également tout noir. Réfléchis Laure, réfléchis…Tu as déjà vu ça…Les balais dans Fantasia. Mais oui bien sûr ! Le balai lance du contenu de son seau devant nous, vu l’odeur, il s’agit encore une fois de dissolvant. Je me tourne vers Dyson lorsque ce dernier énonce :
« Ce monstre n'est pas censé exister encore... »
J’hausse les sourcils :
« Comment ça il est pas censé exister encore ? Qu’est-ce-qui se passe Dyson ? Pourquoi il a pris vie alors ? »
Je connaissais maintenant les noms des deux femmes que je ne connaissais absolument pas. La plus vieille était Mary-Margaret Blanchard et l'autre était Lily Jones -qui avait l'air au passage, aussi désagréable que moi, j'aimais ça- Tut le monde s'était présenté sauf moi, mais de toute façon Laure, Dyson et Park m'avaient appelés par mon prénom, donc les autres le connaissaient. Pendant que je réfléchissais à comment partir d'ici, Dyson faisait son petit discours en tant que connaisseur du monde où l'on était. Wasteland. Comme quoi, j'avais raison, c'était sa faute si on était arrivé ici. Si il ne vivait pas, on n'aurait pas été aspiré. Et il ne s'est même pas excusé, mais quel malpoli ! Les jeunes d'aujourd'hui, je vous jure... Il nous expliqua que le liquide vert était du dissolvant et qu'il faisait quelque peu mal. Ensuite, il nous expliqua qu'on allait prendre le train. Vraiment ? Le train ? Je ne prends que le train en première classe, moi. Pour ne pas me mélanger à la populace. Des sortes de Casper le fantôme apparurent. Ils étaient quatre et tous affreux. Qu'ils m'approchent seulement. Laure eut un mouvement de recul. Je la comprenais, la pauvre. Elle m'avait expliquée tout de qui elle était et je la plaignais. Ce n'était pas facile pour elle de voir des fantômes. Enfin, je suivis le groupe à travers la forêt. Je n'avais aucune confiance en ces fantômes étranges mais bon, Dyson avait l'air de bien les aimer et même si je le montrais peu, j'avais confiance en lui. J'avais donc suivis sans trop rechigner. Laure nous informa qu'elle entendit quelque chose mais apparemment c'était la seule. Puis elle nous dit de nous méfier. J'haussais un sourcil, ne comprenant pas vraiment. Mais j’oubliais vite cette histoire. Un manoir. Droit devant nous. Lugubre. Glauque. Je n'avais aucune envie d'y aller. Et apparemment, je n'étais pas le seul. Mais Laure, elle, comptait bien y aller. Les fantômes disparurent, effrayés.
-Bande de lâches...
Tout autour de nous, il y avait de grosses flaques de dissolvant ainsi que des précipices dont on ne voyait pas le fond. Dommage que Wine n'ait pas été là, je l'aurais bien vu tout en bas de ce si mignon précipice. Laure remarqua un bouton et marcha dessus. Il y avait une enclume sur celui-ci. Elle leva la tête et vit une enclume au dessus de sa tête. Dyson lui dit de ne pas rester dessus. Laure mit un grand coup de pied sur l'arbre mort qui tenait l'enclume par un fil et elle tomba sur le bouton, ouvrant la porte du manoir. Parfait, on pouvait rentrer. Mais, nous n'étions même pas rentrés qu'un balai maléfique apparut devant nous. Sérieusement ? Il avait des bras et portait un seau. Il nous jeta d'ailleurs un peu du contenu juste devant nous. On comprit de suite qu'il n'était pas apte à nous aider et que ce qu'il y avait dans son seau était plutôt dangereux. Dyson -qui avait toujours le mot pour rire depuis notre arrivée...- nous dit que ce n'était pas sensé exister encore. Pardon ? Je m'avançais devant tout le groupe et prit la parole en rigolant.
-Euh Mr le balai glauque au lieu de nous jeter ton affreux liquide vert dessus, tu pourrais pas faire la poussière ? Il y a plein de toiles d'araignées ici ! C'est intolérable ! Et entre nous, si tu veux nous jeter du dissolvant dessus, fais le plutôt sur Lily.
J'adressais un sourire à la concernée, lui faisant comprendre que ce n'était pas méchant. mais je sentais qu'elle ne le prendrait pas mal, mais qu'elle se vengerait. Je ne la connaissais pas, mais j'avais ce don de déjà connaitre les gens sans les avoir jamais vus. Dyson avait sûrement aussi ce "don". Ce dernier dit alors :
-C’est pas une bonne idée ça Harmony...
J'allais lui répondre mais je me reçus un peu de dissolvant sur la figure. Un léger "Aie !" sorti de ma bouche sans que je puisse le retenir mais, je sentais déjà la douleur disparaître. je me touchais le visage, pour vérifier qu'il n'y avait rien de changé. Je pris ensuite mes cheveux et attrapa une méche grise. Une méche... grise ? C'ets une blague j'espère ? il rendait mes cheveux gris ce balai de mes...
-Les couleurs... on perd nos couleurs au contact du dissolvant ! Faut pas toucher le dissolvant, où vous finirez coincées ici et oubliées de tous vos proches ! Ces trucs, craignent le dissolvant aussi, mais on peut pas le toucher nous, faudrait un pinceau...
Un pinceau ? Bah oui bien sûr qui se trimballe avec un pinceau dans la poche. Je ne répondis même pas à Dyson, bien trop énervée. Je commençais à marcher autour du balai, énervée. Si je marchais autour de lui, c'était pour éviter le dissolvant qu'il pouvait me lancer.
-T'es qu'un balai, reste tranquille ! Tu vas déjà me repayer mon coiffeur, parce que peut-être que pour les garçons c'est pas super cher mais t'as déjà vu le prix d'une couleur ? Non, je crois pas. Tu verras, t'auras mal à ton porte-monnaie. Ensuite, quand t'auras fait ça, t'iras brûler en enfer. Quoique en fait, on va commencer par la fin. Je vais te tuer tout de suite. Au moins comme ça je verrais plus ta tête de balai devant moi. Espèce d'idiot va.
Je lui mis un coup de pied le poussant dans le précipice juste derrière lui. J'aurais aimé récupérer le seau, mais il tombait avec son propriétaire. Tant pis. Un sourire était apparu sur mon visage, remplaçant peu à peu ma colère. C'est alors que j'entendis des bruits. Ils venaient de l'intérieur. des pas métalliques, des bruits de scierie et enfin la musique quelque peu angoissante d'un orgue.
-Ouaip, c'est donc pour ça que les Revenants Solitaires ne veulent encore plus venir.
Je m'approchais encore un peu plus des bruits et commença à crier.
-Excusez-moi, vous pourriez faire moins de bruits ? Je suis en train de savourer ma victoire là !
Une grosse voix se fit entendre, ne me faisant nullement peur.
-NON SEULEMENT VOUS OSEZ TRAVERSER MON TERRITOIRE, EFFACER UNE PARTIE DE MON MANOIR ET TUER L'UN DE MES GARDES, MAIS VOUS AVEZ EN PLUS L'INSOLENCE DE ME PARLER AINSI ?
J'haussais un sourcil. Il était sérieux lui ? Il allait vite fait retourner chez lui, j'avais aucune envie de lui parler, moi. -Alors déjà, Monsieur le-très-probablement-très-laid, il va baisser d'un ton, j'ai pas envie d'avoir un tympan en moins, merci bien et deuxièmement moi je suis pas ici par plaisir et je veux juste rentrer chez moi donc vous avez rien à me reprocher. Et merci de ne pas me parlez comme votre chien, je m’appelle pas Rex et je mange pas des nonoss.
-L'impertinente qui ose me parler ainsi est mise au défi de rentrer dans mon manoir !
Je ravalais ma salive, faisant beaucoup moins la maligne.Mais j'eus quand même le courage de répondre.
-Alors euh c'est très gentil de m'inviter mais il y a pas l'air d'avoir d'apéro alors merci, mais je crois que je vais m'en aller. Et pusi en plus, vous allez pas l'air très accueillant, vous savez. Vous devriez faire quelque chose pour ça, parce que si vous voulez avoir des amis un jour -ce qui m'étonnerait d'ailleurs, parce qu'avec cette grosse voix, c'est pas gagné...- va falloir faire un effort sur l'accueil. Pour en revenir à votre défi, il n'y a pas quelqu'un d'autre qui veut y aller à ma place ? Tiens, Dyson, c'est ton monde, t'assumes.
C'est finalement, Laure, bien déterminée depuis le début à y rentrer qui décida d'y rentrer. je ne pus m'empêcher de crier, avec des gros yeux :
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) n'est autre que son don pour l'eau. Et oui, depuis son arrivée à Storybrooke, la Gumiho a perdu son contrôle qu'elle avait sur l'eau. Qu'est ce que cela va donner avec deux amies qui on peur de l'eau dans un monde de peinture ? Elle pourrait peut-être être elle-même le danger pour les autres ![[Fe] Le Monde de la Désolation - Événement #67 2852471132](/users/3217/45/99/68/smiles/2852471132.gif)
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